Avec ce quatrième opus, Paul Bruffell et HPS continuent à améliorer la série des « Aigles en marche ». Ils nous amènent à la bataille charnière entre l’apogée de l’Empire et le début de sa fin. Toutefois il s’avère difficile de parler de ce nouveau titre, tant est présent l’absence de changement majeur.
Ainsi, le joueur est placé à la tête de l’Armée. Il possède un nombre de points de commandement qui reflètent l’efficience de son état-major. Ces points vont servir à activer les unités, si commandées, qui pourront ainsi se déplacer, changer de formations ou encore se ravitailler, la liste n’est pas complète.
La carte est découpée en zones ou l’empilement est limité à trois unités, dont un général pour le terrain difficile. Le combat a lieu quand des unités ennemies occupent la même zone.
Le graphisme reste relativement soigné, les délimitations des zones plus propres, la grille hexagonale s’estompant au fur et à mesure des sorties.
Toutefois, j’ai bien vu des changements qui ont sérieusement retardé cet article. Le jeu s’est avéré injouable, d’une lenteur exaspérante, impossible de finir un tour. Ces problèmes récurrents s’étaient pourtant fortement atténués avec l’arrivée de mises à jour et les nouveaux titres.
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Pour plus d’informations sur Marching Eagles: Borodino, voyez cette page chez l’éditeur.
Points positifs et négatifs
- Système maitrisé
- Durée de jeu
- Historicité
- Version française absente
- Ergonomie
- Bugs