Warhammer 40 000 Gladius – Tyranids : sur Gladius, personne ne vous entend prier (2)

Seconde partie de ce récit vous présentant le début d’un soulèvement tyranide tel qu’on peut très bien le jouer dans Gladius – Relics of War désormais. Les choix sont nombreux et la plupart du temps très tactiques, offrant ainsi de belles batailles au souffle indéniablement épique. On a hâte de voir le jeu continuer de s’étoffer en ce sens.

T.25

Quand mon Tyranide Premium arriva à hauteur des derniers Hybrides protégeant la relique gladienne, il vit juste à coté trois essaims de psycho-guêpes. Ce qui même pour un héros Tyranide affamé faisait un peu beaucoup à dévorer. Pour l’instant, les Hybrides réduits en fines lamelles, les Termagants pouvaient désormais prendre le contrôle de la puissante relique. Celle-ci était une sorte de projecteur holographique géant mobile, qui concrètement donnait un bonus en points de vie à toutes mes unités. Un avantage très utile pour mes troupes de base.

T.26

Pour une raison inconnue les trois essaims de guêpes de l’Immaterium s’enfuirent à la vue de mon Tyranide Premium. L’Esprit-ruche savait celui-ci impressionnant, mais à ce point, il resta surpris.

Les psycho-guêpes avaient fuit à l’ouest de la relique nouvellement conquise, vers une région où se trouvait beaucoup de nourriture. Ce qui pourrait probablement m’être utile par la suite mais n’était pas dans mes priorités pour l’instant.

T.27

Au couvain-ruche, tout allait bien, et j’entamais la construction d’un nouveau bassin de récupération pour continuer d’augmenter ma production de Biomasse.

La première partie de cet AAR est par ici. A lire aussi sur ce DLC Warhammer 40000 Gladius – Tyranids : la ménagerie des horreurs.

Une nouvelle mise à jour 1.21 est arrivée peu après la sortie du DLC, patch rééquilibrant différentes unités des Tyranides, améliorant un peu l’IA et corrigeant différents bugs. Un petit patch 1.22 est venu lui ensuite corriger quelques autres détails et améliorer les possibilités de modification du jeu.

Pour plus d’informations sur Warhammer 40 000 : Gladius – Tyranids, voyez cette page chez l’éditeur ou cette fiche sur Steam. Concernant le jeu de base, voyez cette fiche ou celle-là sur Steam. A lire également notre test ainsi que ce dossier sur les unités des Space Marines.

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T.28

A l’ouest mes Guerriers Tyranides reprirent le contrôle de la relique en ruine volée par les Orks, mais tombèrent sur une petite ville et reçurent en guise d’accueil une volée de missiles hautement explosifs. Quelques Boyz Orks allaient eux découvrir les joies d’affronter une horde naissante de Tyranides.

T.29

Les Boyz échappèrent de peu à l’annihilation, de même que mes Guerriers Tyranides. L’unité encaissa un second de tir de missiles de la petite cité Ork, et fut réduite à 1 point de vie. Un nouveau repli s’imposait d’urgence. Les Guerriers Tyranides étaient certes forts et utiles, mais bien trop fragiles face à de telles attaques. Même avec le soutien de plus de Termagants et d’Hormagaunts, je doutais fortement de leur chance de réussite pour déloger rapidement les Orks de leur petite ville.

 

T.30

Le peu de Guerriers Tyranides ayant survécu aux tirs défensifs des Orks se réfugia dans l’avant-poste des canalisations de Prométhium. Là, ils allaient pouvoir commencer le long processus de guérison.

Coté Recherche je passais au développement d’un héros encore plus gros, encore plus fort, encore plus beau, le Tyran de la Ruche ! Et en plus il volait, celui-là. Cela dit, il avait surtout l’avantage de savoir tirer à deux cases, un don rare chez les Tyranides, et mieux encore il savait comment instaurer plus de Loyauté dans la “population”. Comme si cela ne suffisait pas, il avait encore d’autres qualités utiles, se déplacer vite et loin par exemple.

T.31

En attendant que naisse mon premier Tyran, voici qu’arrivait un premier massif Tervigon. Ce quadrupède gigantesque était certes plutôt lent, mais parmi ses compétences spéciales, il avait une précieuse capacité de soins. Elle allait immédiatement être mise à profit pour revigorer mes Guerriers Tyranides réfugiés non loin.

Au couvain démarra aussi la construction de l’Aedanthropum, seconde étape avant la production d’un Thrope, soit concrétement d’un futur second couvain-ruche. A ce stade de la partie se lancer dans la construction d’une seconde ville n’est pas spécialement indispensable. Je suis loin d’avoir exploité toutes les possibilités de la première, et c’est donc un choix à plus long terme, plutôt par exemple que de produire plus d’unités basiques.

T.32

Les Orks se sont empressés de reprendre le contrôle de la relique en ruine, ce qui n’était pas trop grave (je perds +2 en Recherche), mais repoussait un peu toutefois l’arrivée du Tyran de la Ruche.

Une partie de mon armée se mit en route vers le sud-ouest, mon Tyranide Premium souhaitait goûter de la cervelle d’Esclavagistes. Ces derniers étaient toujours mollement en train de flotter plus ou moins autour d’une relique gladienne que je convoitais pour mon expansion future.

Mon Tervigon commença lui à accélérer la guérison de mes Guerriers Tyranides (+4 pt de vie par tour à une unité).

 

T.33

L’Esprit-ruche se demandait vraiment ce qui guidait les instincts de la faune sur Gladius. Mon armée avait à peine eu le temps d’avancer au sud-ouest qu’un essaim de Psychneuein suivi par des Esclavagistes vint lui barrer la route. Si mon Tyranide Premium avait pu rire, il aurait beaucoup ri. Mais il allait se contenter de massacrer les guêpes dont les piqûres n’allaient pas lui faire grand chose, si ce n’est peut-être stimuler plus encore son appétit.

Intrigué, mon Tervigon décida, tout en continuant de soigner les Guerriers Tyranides qui le suivaient, d’aller voir ce que donnerait le combat. Et puis les Termagants qui n’allaient maintenant plus le quitter pouvaient toujours s’avérer utiles pendant que mon premier héros s’occupait de la faune.

Un groupe de Termagants poussa d’ailleurs la curiosité un peu plus à l’ouest, découvrant un nouveau camp de Jokaeros, mais ici contrôlé par les Orks. Ce qui n’allait pas durer longtemps !

T.34

Les guêpes n’avaient pas résisté longtemps, et les Esclavagistes dans un éclair de lucidité avaient fuit loin au sud. Mon Tyranide Premium se pensait tranquille pour quelques temps, mais non, deux bandes d’Ambulls surgirent des forêts pour prendre elles aussi le contrôle de la relique gladienne. Ou du moins m’empêcher de le faire.

Ces Ambulls ne faisaient pas le poids face à mon héros, et mes petites unités qui le suivaient allaient elles aussi pouvoir profiter du festin. En plus d’accélérer la manoeuvre.

T.35

Un dernier Ambull tenta vainement de résister, refusant de fuir et il fut promptement massacré par mes Termagants. Mon Tyranid Premium avait tiré de bonnes leçons de ces récentes batailles. Il gagna ainsi un premier niveau dans sa compétence augmentant ses dégâts (+30%), talent qu’il ne pouvait pas utiliser en permanence, mais une fois tous les trois tours. Au passage j’en profitais pour prendre le contrôle du bassin de fermentation inutilisé par ici. Cela faisait toujours un petit bonus (+1) en Influence de plus.

T.36

Il fallait maintenant s’occuper du camp de marchands voisins, et c’était mon Tervigon et ses rapides Hormagaunts qui allaient s’en charger. L’affaire fut rapidement réglée, et pendant ce temps mon Tyranide Premium partit plus au sud en quête des Esclavagistes. Non pas pour venger mes Termygants perdus au début, non, pas du tout, la vengeance est rarement un plat au menu chez les Tyranides. Mais surtout pour empêcher que ces créatures du Warp viennent nous voler la relique (Siren Caster – bonus en Loyauté).

T.37

Les Esclavagistes n’étaient pas au sud, mais plus loin au sud-est. Entre deux mon héros Tyranide tomba sur un nouveau groupe d’Ambulls, réfugiés eux dans des ruines impériales. Mes Guerriers Tyranides désormais bien remis allaient pouvoir faire un peu d’exercice.

Au couvain débuta enfin la production d’un premier Malanthrope, dont la gestation allait encore prendre six tours. Chez les Tyranides aussi la patience est une vertu… Un peu en-dessous du couvain une unité de Termagant eut le plaisir de croiser un essaim de guêpes du Warp en maraude. Un affrontement sans pitié commença.

 

T.38

Au sud Les Ambulls rechignaient encore à mourir, et en conséquence laissaient plus de temps aux Esclavagistes pour s’enfuir dans les profondes forêts voisines.

Au couvain l’Esprit-ruche décida de finir de digérer complètement le camp de marchands Jokaero, ce qui lui ferait un bonus supplémentaire en points d’Influence.

Une nouvelle unité de Termagants venait elle de se mettre en route pour rejoindre le Tervigon. Ce dernier avait repris son chemin vers le couvain, qu’il ne fallait pas non plus laisser trop longtemps sans protection. D’autant plus que la petite cité des Orks semblait grandir, elle aussi.

T.39

Enfin ! Enfin, un premier Tyran de la Ruche était prêt à entrer en gestation. Il ne manquait plus que quelques ressources pour lancer le coûteux processus. Tandis que les Termagants s’adonnaient à la joie de la chasse aux psycho-guêpes dans les denses forêts boréales de Gladius Prime, que voulez-vous, les Termagants ont aussi le droit de jouer un peu, tandis donc que les troupes rampantes s’amusaient, l’Esprit-ruche pensa à adopter le principe du vol des guêpes à ses Termagants. Ce qui donnerait ce que les humains appelaient des Gargouilles, autrement dit des Termygants cornus, bien sûr, griffus, bien entendu, mais pouvant voler sur de courtes distances. Ce qui devrait s’avérer utile pour franchir des obstacles, les rivières et falaises rocheuses sur Gladius étant souvent gênantes.

D’ailleurs les Esclavagistes dans leur fuite au coeur des forêts s’étaient trouvés ralenti par une de ces rivières serpentant au sud du couvain. J’avais été obligé de séparer en deux le groupe du Tyranide Premium, mais maintenant que les guêpes étaient en déroute, ma horde de Termagant allait pouvoir se mettre plus gros sous les griffes et les crocs.

T.40

Dans l’incapacité de fuir plus loin, car il faut l’avouer bloqué aussi par les bords de la carte et pas uniquement par mes talents de chasseurs, les Esclavagistes furent dûment encerclés, et la horde se les partagea sauvagement. L’expérience fut très gratifiante, mon Tyranide Premium développant ainsi de nouvelles capacités de résistance à la douleur (+30% en réduction des dégâts), ce qui ne manquerait pas de lui servir à l’avenir. Le Tervigon tira lui aussi bonne leçon de ce festin, il gagna une utile compétence augmentant de 50% les attaques des Termagants. Vu le nombre de ceux-ci qui grouillait autour de lui, voilà qui devrait s’avérer précieux à l’avenir.

Au couvain l’Esprit-ruche s’ennuyait un peu, alors il déboisa, cela ferait toujours ça en plus en Biomasse pour la future naissance du Tyran.

 

T.42

Sautons à nouveau un tour tandis que l’armée Tyranide se redirige vers une nouvelle cible. L’Esprit-ruche a trouvé comment faire voler des Termagants, mais surtout, il a désormais assez de Biomasse pour engendrer son premier Tyran. La naissance sera une fois de plus un peu longue, neuf tours, mais l’attente valait certainement le coût. Pour patienter l’Esprit-ruche décida de continuer à déboiser, cela le détendait, et regarnirait un peu les réserves de Biomasse.

Coté Recherche, un dilemme se présentait. Fallait-il continuer d’engendrer des créatures de plus en plus grosses et puissantes ? Ou fallait-il harmoniser les âmes sauvages de la “population”, afin de bâtir après plus de couvains gros et puissants ? Difficile question, vous l’avouerez. Toutefois il sembla à l’Esprit-ruche que opter pour un Noeud de cohérence ne serait pas incohérent pour bâtir plus de couvains qui eux-mêmes donneraient plus de créatures afin de pouvoir plus vite dévorer ce monde.

 

 

T.43

Le premier Malanthrope venait de naître, il flottait calmement dans l’air, et commença à chercher où s’établir. L’armée des Tyranides avait elle enfin atteint sa destination, l’antique projecteur holographique dont le contrôle avait dû être abandonné après les précédents combats avec les Hybrides.

Or, surprise, le Tervigon qui menait l’armée se retrouva face à face avec de nouveaux Esclavagistes. Ces derniers n’allaient pas tenir longtemps désormais face aux nombreux Termagants en pleine forme. Par contre le gigantesque mille-pattes de Catachan qui traînait non loin dans une forêt allait lui s’avérer plus coriace pour les petits aliens. Et puis il y avait aussi un peu plus loin une meute de Kroots revenant d’on ne sait où, et d’autres guêpes de l’Immaterium. Un menu copieux en perspective pour le Tervigon.

T.44

Le Tyranide Premium n’avait pas suivi le Tervigon, mais avec une petite escorte il était parti inspecter le secteur du coté des Orks. En effet, là-bas, tout semblait calme, très calme, trop, certainement. Étonnamment les Orks avaient pensé à la même chose. Y aurait-il aussi une forme d’esprit chez les Orks ? En tous cas un War boss s’aventurait vers le territoire des aliens, et tomba face à face avec le Tyranide Premium. Ce duel proto-titanesque au milieu des terres volcaniques fut rapide, et très brutal. Et surtout à l’avantage du héros Tyranide. Le War boss manqua de peu d’être dévoré entier, et s’enfuit aussitôt vers sa petite cité.

Au couvain la création d’un second Malanthrope fut décidée. En effet si le premier devait être utilisé pour créer un nouveau couvain, le second le serait lui pour exploiter ses autres compétences.

 

 

T.45

Le contrôle de la relique gladienne avait bien été repris, augmentant ainsi les points de vie des troupes de toute l’armée. Le Tervigon ayant aperçu non loin de traîtres Hybrides, il se mit en route pour les dévorer. L’issue du combat ne faisait aucun doute, et, au-delà de vastes champs d’herbes barbelées et de champignons orkoïdes, apparût la silhouette d’une autre relique en ruines.

Le premier Malanthrope avait rapidement trouvé un lieu très intéressant où fonder un second couvain. Tout simplement à coté de la relique gladienne au sud-est. L’endroit offrait différents bonus qui seraient utiles à l’avenir (Biomasse et Recherche), et n’était pas très loin de la petite cité des Orks, dont il faudrait bien s’occuper un jour ou l’autre.

T.46

Quelques Termagants partirent explorer un peu plus au nord dans les forêts, ils découvrirent une grande plantation de feuilles de Recaf, qui, si il était possible d’en prendre le plein contrôle, apporteraient un bonus en Loyauté. La forêt ne s’étendait pas si loin que ça, derrière il y avait une vaste plaine, et au loin, quelque bannières semblaient indiquer la présence d’un avant-poste adverse. Probablement pas des Orks, bien plus à l’ouest, donc certainement un avant-poste des humains ! Ce que le Tervigon vint vérifier de lui-même, et confirma au vu des silhouettes de vastes tours et murailles qui se profilaient.

Les Termagants prirent aussi le contrôle de la relique en ruines, gagnant un utile bonus de 38 pts de Recherche, accélérant ainsi la découverte d’une solution pour construire des Noeuds de cohérence.

Au couvain principal, fini le temps du déboisement, l’heure était aux Termagants volants. Oui, il fallait expérimenter pour progresser ! Au pire on n’y perdrait pas grand chose, la solution trouvée par l’Esprit-ruche avait le mérite d’être assez peu coûteuse, à peine plus qu’un Hormagaunt, c’est dire.

 

T.47

Les Termagants étaient parfois trop curieux, c’est ainsi. Ceux qui avaient saisi la relique en ruines voulurent voir si un peu plus au nord la forêt continuaient aussi. En effet la forêt s’arrêtait, ils trouvèrent des ruines humaines, et un gigantesque robot Kastellan encore en parfait état de fonctionnement. Comme le prouvait son lance-flammes et ses lance-roquettes.

Le Tervigon ne pouvait supporter une telle concurrence gargantuesque, il ébranla sa horde en direction du robot, ce qui serait toujours moins risqué que de continuer vers la cité des humains au-delà de la grande plaine.

Surprise, dans la forêt des Termagants découvrirent que le robot Kastellan était en fait suivi par des technoprêtres humains, probablement la raison pour laquelle cet ancien robot fonctionnait encore aussi bien. Ces ingénieurs n’avaient quasi aucune chance face à la horde du Tervigon.

Autre surprise, très contrariante cette fois, un second robot en parfait état de combat arrivait après le premier. Un robot Kastellan était déjà trop pour la horde du Tervigon, qui n’était pas du tout adaptée à ce type d’adversaire. Deux robots géants, il fallait se replier immédiatement. L’unité expérimentée de Termagants qui avait déniché ces robots confirma cela très vite, en se faisant réduire simultanément en miettes et en cendres.

Au couvain la construction d’un Noeud de cohérence venait de débuter. Ce qui devrait, dans sept tours, optimiser le fonctionnement de l’ensemble.

En effet, si pendant un bon moment la ville des Tyranides avaient un utile bonus de Loyauté, plus on construit de villes et plus la population augmente, plus le bonus diminue. A ce stade la ville avait un niveau de -1 en Loyauté (équivalent à -2% pour la production par exemple). -1 ça n’est pas spécialement gênant, mais ce malus peut par la suite rapidement augmenter.

Coté Recherche, la décision fut prise de revenir à de plus grosses créatures. Le nombre de Termagants, même soutenus par des héros, ne suffirait pas à rompre les murailles des cités orks et humaines. Il allait falloir briser ces murs par d’autres moyens. Ces nouvelles créatures allaient avoir besoin d’un repaire à part entière, et il fallait trouver comment insérer cela harmonieusement dans le couvain.

T.48

Le Tyranide Premium était redescendu au sud-ouest, car maintenant qu’il y avait un second couvain dans ce secteur, et que des Orks traînaient non loin, il ne fallait pas négliger le risque d’un retour du War boss. En fait celui-ci s’était réfugié en haut d’une falaise, d’où il surveillait la vallée permettant d’accéder au camp de Jokaero dans le secteur. Ce War boss avait aussi ramené pour l’épauler de l’artillerie. Les deux camps férocement opposés tombèrent muettement d’accord sur une chose, le premier qui avancerait à découvert dans la vallée n’y survivrait pas longtemps.

T.49

A l’est c’était toujours le statu quo entre le War boss Ork et le Tyranid Premium. Le second couvain avait besoin de temps pour se développer.

Au nord, tandis que le Tervigon s’enfuyait à couvert dans la forêt, il vit une meute de Kroots traverser la plaine, et recevoir une volée de missiles tirés par la cité humaine. Même chose qu’à l’ouest, le premier à se risquer à découvert dans cette grande étendue risquait de payer un prix très élevé.

Il allait donc falloir envisager un très grand contournement, en passant par le centre de la carte. Région où l’on avait le plus de chances de croiser toutes les autres armées à peu près en même temps ! Voilà qui s’annonçait compliqué, d’autant plus que les Tyranides ne sont pas spécialement doués pour la reconnaissance. Sauf en sacrifiant de petites unités…

T.50

Le repaire des nouvelles créatures monstrueuses de la ruche était prêt à être construit.

Une première approche vers le centre de la carte révéla que cela devait être la région où nichaient les Diables de Catachan. Probablement la raison pour laquelle on croisait pour l’instant peu d’humains ou d’orks vers le centre. La horde du Tervigon prit au passage le contrôle d’un bassin de fermentation.

Coté Recherche, l’expérience avec les robots Kastellan incita l’Esprit-ruche à améliorer les petites armes de ses troupes. Cela n’augmenterait pas la portée, mais au moins améliorerait les dégâts.

Au couvain, la naissance du premier Tyran de la ruche était imminente. Les choses sérieuses ne faisaient que commencer.